The fascination...

Le pire dimanche après-midi de toute ma vie, sans doute. La route était longue entre ses deux villes. La route, l'avion... je passais par tout. Je faisais moitié moitié avec elle. Phil conduisait, ensuite ma mère et par la suite moi. Heureusement que j'avais quelques chandail à manche longue, car à Forks, il faisait toujours froid. de plus, je changeais de lycée en plein centre de l'année.

La chaleur et le soleil de Phoenix, grande ville d'Arizona me manquera probablement beaucoup. Ma mère et ces excentricités aussi. Phil était sympa, mais comme il jouait au base-ball, il devait souvent voyager. J'ai donc décidé d'aller vivre quelques temps chez Char... Mon père, pour permettre à ma mère de le suivre. Je sais que si elle reste avec moi, elle sera malheureuse. charlie vit à Forks, un très petite ville dans l'état de Washington. C'est le de la police de cette ville.

Forks est une ville froide et pluvieuse. Je pu le consater emplement quand j'ouvris un peu la fenêtre question de m'aérer. Mon père est quelqu'un qui ne s'éternise jamais. C'est ce que j'aime de lui. Moi et lui somems pareil. Au contraire de ma mère, qui elle peu rester des heures et des heures entière à s'assurer que tout va bien.

Rien n'avait changé de ma dernière visite. Rien sauf ma chambre. Elle avait été presque complètement téaménager dont une meuble, une lampe de travail, un ordinateur et un lit.
-La décoratrice à choisit ton couvre-lit. Ta mère ma dit que tu aimais le violet.
-Violet c'est bien.
-Bon, alors... tu sais où me trouver.
Sur ce, il s'éclipsa, Comme d'habitude. Mais je ne m'en plaidrais pas.

Je me réveilla rapidement ce matin. J'étais excité par le fait de conduire la camionnette chevrolet que Billy Black à vendue à mon père pour moi. Son moteur ronronnait à merveille. J'empoigna ma veste et y embarqua. Ce que je détestait probablement encore plus que la pluie et le froid de Forks .tait sans aucun doute l'anonymat interdit. Dans cette petite ville qui ne comptait environs que deux milles habitants, une fille de seize ans sortit tout droit d'un pays chaud du Sud suciterait beaucoup d'attention. Comme je n'ai jamais aimé me faire remarquer...

Dès que j'arriva, le pire se produit. Prise sous les phrases sarcastiques que les auters lançaient sur ma voiture, un gars aux allures asiatique enroula son bras autour de mon cou quand je fis un pas dans l'établissement.
-Salut! Jessica Stewart? Moi c'est Éric. Je te veux en première page du journal étudiant.
-Je ne vois pas ce que j'ai de si intéressant...
- Bah, il ne se passe jamais rien dans une ville comme Forks alors ton arrivé était très attendue.
-Mais je ne veux pas d'ar...
-Daccord, j'ai compris. Pas d'article. No problèmo.
-Tu es sur que...
-Ouais ouais, t'inquiète. Viens.
Sans que je ne pus répliquer, il m'attrapa le bras et me tira jusque dans un cours de français. Un gars aux cheveux blond sauta sur Éric et lui ébouriffa les cheveux avant de se tourner vers moi avec un grand sourire.
-Jessica Stewart? Mike.
-Jess. Enchantée.
Que je corigeasse aussitôt. Je n'aimais pas vraiment mon prénom. Le cours de français fut péniblement long, surtout le fait que tout les autres élèves me fixaient comme si j'étais une extra-terrestre. Mais Mike et Éric les ramenaient toujours à leur place, heureusement. Je consulta mon horaire dès que la cloche retentit. Biologie-M.Taylor, D,456.
Au moins, j'avais reçu une classe spécialisées dans ce domaine, ce n'était pas comme l'éducation physique. J'étais un véritable danger publique et encore, le mot était faible. Je blessais toujours les gens donc, je préférais rester en retrait.

Pénétrant dans la classe, la majorité des élèves étaient là et s'amusaient en riant. Mike était réellement déjanté. Éric, de nature plus calme, je suppose. Le professeur me fut signe et me donna un paquet de feuille avant de m'assigner une place à côté d'un garçon. Il me frappa aussitôt. Une énergie très forte émanait de lui, comme si j'étais attiré par ce champ magnétique. J'alla m'asseoir lentement dans ma chaise, déposant mon sac juste à côté. Déposant mes bras sur le bureau, je me retourna vers lui et le regarda pendant quelques secondes.
-salut!
Lançais-je le plus naturellement possible même si à l'intérieur de moi, je sentais un ouragan se déchaîner.

«- Ouais ça va Su'...
- J'm'ennuiiiiiie!!! Minimuii T_T
- (rire) Si tu t'ennuie tu penses que je fais quoi?
- Mais pourquoi tu vas à l'école Minimui?
- Bah tu fais pareil je te signale!
- En fait c'est pour te suivre, crétin!
- Ouaaah! Il me suit beaucoup mon fréro'! L'est à Pointo' et moi à Forky!
- Deeemo Kamuiiii...
- Ouais c'est ça cause touj...»

Bizarrement, on entendait rien de ce que ces deux-là étaient en train de se dire. Tout ce qu'on savait, c'est qu'un élève dans la classe se mit soudainement à fixer la nouvelle avec l'air de vouloir la bouffer. Je fais une petite présentation?

Shirô Kamui, supérieur de sang-pur, chef du clan de Saëlis, le clan le plus puissant à ce jour, à peine 253 ans ce qui serait apparement extrêmement jeune pour un chef. Ah oui et j'oubliais la caractéristique clé. Et oui, parce que Kamui était d'abord et avant tout «issu de la mythologie». En effet, et il n'était pas n'importe quoi -ni n'importe qui d'ailleurs-, il était... un Vampire. Pas n'importe lequel vampire, qu'on se le dise! À ce jour, lui et son frère jumeau (Shirô Subaru ou Sumeragi Subaru, de son alias) étaient les vampires les plus puissants à travers le monde!

Ouais bon, finit le bla bla stupide et ajoutons que Kamui ne répondit rien à la jeune fille qui venait de s'asseoir à côté de lui, si ce n'est qu'il la repoussa totalement et définitivement du regard, la fixant rageusement de ses yeux qui semblaient être l'ode d'un ciel nuageux.

Je sentais immédiatement que mon regard me trahît. Je sentais que j'avais l'air déboussolé. Il m'avait prit au dépourvu, je dois m'avouer vaincu sur ce coup ci.
Je chercha dans son regard, d'un bleu triste intense, une façon de le dchiffrer et sone xpression si hautaine envers moi, alors que je ne lui avait encore jamais parlé, mais je n'y trouva rien. Je fini par abandonenr et me cala dans ma chaise, laissant des mèches recouvrir le plus possible mon visage. Cependant, l'ignorer était très difficile vu l'énergie qu'il dégageait.

Le professeur reprit enfin le contrôle de la classe et de Mike avant de distribuer des feuilles et des oignons sur chacun des bureau de travail.
-Comme vous l'avez surement constater...
Il sortit un gros oignon en or de son dos.
-C'est un concours! Ouais ouais donc, la première équipe à finir d'identifier chacune des particules de l'oignon se remportera un oignon bien dodu et brillant! Partez!
Je me figea instantanément. Travail d'équipe. Je déplaça lentement mes yeux vers lui, préférant lui laisser le choix de faire les premiers pas, sachant qu'il ne m'aimait guère.

«- Si c'est pas la classe! Un oignon brillant en guise de prix! Ça me motive! Je suis plein d'entrain, yeah! Ouais je sais! Et si je le transformais en ail?
- (rire) Kamui franchement!»

Inexplicablement, inéluctablement, Kamui sourit sans raison et toutes les filles se retournèrent en poussant différents cris ou soupirs. Il arrivait souvent au jeune garçon de sourire pour un rien ou alors que le silence était le plus total, mais les filles avaient toujours la même réaction.

«Su' je fais quoi si elle est à côté de de moi?
- ELLE?!? Nah pas vrai!
- ...
- ... tu trouves un moyen de dégager au plus vite!
- Ouais on a un travail d'équipe!
- ARRÊTE DE RESPIRER CRÉTIN!
- Ah ouais c'est pas bête!»

Sans un mot, il prit le microscope et identifia rapidement toutes les particules du ridicule oignon, la laissant copier si elle le voulait.

Fronssant mes sourcils, je lui jeta un coup d'oeil avant de sentir mes cheveux en enfonçant ma tête. Il sentait la fraise, mon shampoing que j'utilise toujours. Prenant le microscope, je els identifia à mon tour, certe, beaucoup plus lentement que lui. Inscrivant les résultats dans la grille d'analyse du résultat, je me retourna et vit Mike qui fixait rageusement le garçon à côté de moi. La cloche sonna alors et lentement, j'alla récupérer l'oignon si "spécial" que nous venions de gagner. Cependant, dès que je me retourna, personne. Il s'était volatilisé.

Franchissant la porte de la cafétéria, mon plateau en main, je vus Mike et Bella, une fille qui m'avait adressé la parole en cours de math, me faire de grand signe de la main. Éric, derrière moi, recula ma chaise, comme le ferait un preux chevalier. Il partit à rire.
-Votre altesse, veuillez prendre place je vous prie.
Pouffant à mon tour, je le regarda aavnt de m'asseoir.
-Il y a une plage qui a l'air intéressante... C'est la poush bébé, la poush.
-Écoute, je viens si tu arrête de parler comme ça.
Puis, tout els regard fut viré sur des personnes qui entraient.
Une fille, accompagné d'un autre plus grand était vraiment beau. Ils respiraient la perfection même. Leur teint pâle était resplendissant sous les rayons de lumière qui les atteignaient. Enfin, les faibles rayons de lumière car il pleuvait.
Puis, deux autres personnes au même teint firent leur entré.
-C'est qui, eux?
-Et bien...
Bella se pencha vers moi.
-La fille là-bas, c'est Rosalie. Elle sort avec Madoshi, l'autre plus grand. Bien sur, tout le monde sait qu'il la trompe... enfin. L'autre, celui avec des cheveux blond c'est Jasper et la fille à côté de lui, c'est Alice. Elle est bizarre.
C'est là que l'ont entendit plusieurs soupirs de filles qui les regardaient de loin, sachant qu'elles n'avaient aucune chance. Je me retourna et réalisa que le garçon assit à côté de moi en cours de biologie était lui qui attirait tout ces soupirs.
Bella rougit avant de me regarder pour continuer.
-Et lui c'est... Kamui, Kamui shirô. Mais ne tem laisse pas avoir par son apparence de dieu, il est très distant. Il ne parle jamais à personne d'autre qu'eux. Surtout, ne tombe pas amoureuse de lui. Tout le monde sait qu'aucune fille n'est assez parfaite pour lui.
Déclara-t-elle en baissant le regard vers son assiette.

Tout le monde à la table fixa la nouvelle de leurs yeux si spéciaux qu'ils soient dorés, bleu marin ou encore d'un bleu gris hors de l'ordinaire qui se fondait en une délicieuse couleur argentée pâle et triste, mais vibrante, étincelante d'une force mentale complètement inhumaine et un bleu sombre qui s'harmonisait à merveille avec la partie argentée très forte. Un bleu qui se mêlait à un ciel de nuit, une nuit calme et paisible, une nuit de rêve.

Celui dont les yeux étaient tellement uniques que ses teintes s'entrelaçaient sans la moindre anicroche en un mélange incroyable de Force et de Volonté, dégageant une sorte d'autorité suprême, celui-là il s'avança. Le regard droit, les épaules légèrement inclinées vers l'arrière, menton à peine assez relevé pour qu'il se remarque, le dos droit sans qu'il ne forme pour autant la traditionnelle courbe moyenâgeuse. Il avança ainsi, en un port altier parfait, formant à lui seul l'absolu de l'autorité. Absolu à un tel point que, d'instinct, les quatre personnes qui le suivait s'écartèrent pour le laisser passer devant eux.

Alors qu'ils s'asseyaient, l'un d'entre-eux ne quitta pas la cible de son regard un seule instant, hormis lorsqu'Alice fit dévier la conversation en quelque chose qui attira son attention.

Je le regarda. Non, fixa. Tout le moned semblait plus tendue que tout à l'heure et avait l'air de regarder ailleurs. Moi, je voulais le confronter. Arracher de lui une explication de son si grand dédain du monde entier, de savoir pourquoi il me détestait sans jamais m'avoir parlé.
Bella changea aussitôt son regard de direction, fixant le plafond ou le mur.
-Mais, je te le répète. Ne tombe pas amoureuse de lui. Nombre de fille se sont fait décevoir...
Lui coupant la parole, ne l'écoutant guère, je fixa celui qui semblait être le chef, continuant de laisser aller les questions se propager dans ma tête.
-Ils viennent d'où?
-D'Alaska. Ils sont arrivé ici depuis 2 ans.
Tournant la tête, je me remise à discuter avec Mike et Éric, qui semblait très joyeux au fait que je les accompagne à cette plage.

Arrivé chez Char... mon père, je déposa mon sac et me prit une verre d'eau. Lui assit sur la table, lisant tranquillement son journal, m'adressa la parole.
-Ça a été, ta journée?
Me retournant vers lui, je pris mon sac et déposa mon verre dans le lave-vaisselle. Lui offrant qu'un rire comme réponse, je remonta dans ma chambre pour m'enfermer dans ma chambre.

[la plage, même bout que Twilight]

Arrivant en classe, cours de biologie, encore, je déposa mon sac contre le bureau. Soupirant, je passa une main dans mes cheveux avant de me retourner vers Mike qui lançait maintenant des boulettes de papiers avec une paille un peu partout dans la classe. Abandonnant le fait de partir une conversation dont je n'avais pas envie, sachant qu'il m'inviterait à coup sur au bal des finissants, je gribouillona un tas d'excuse dans mon cahier, question de m'en sortir indemme. Car, des bals égal danser, et danser... pour moi c'est impossinle.

Il arriva à son tour, l'air plus ennuyé que furieux contre sa seule présence. S'il était ici, c'était uniquement pour supporter son frère et le courage qu'il avait de se lancer dans un énième série d'études. «Faut bien rester d'actualité» avait été sa seule excuse. Levant les yeux au ciel, il s'assied avant de se souvenir que sa voisine n'était pas n'importe qui, mais elle. Il tourna d'ailleurs son visage d'Apollon vers elle et lui adressa un sourire à mi-chemin entre le calme et l'excuse. Cependant, il ne rajouta rien et posa son menton au creux de sa main, accoudé à la table et déprimé.

«Kamui Kamui Kamui Kamui Kamui!!»

Il sursauta et parut chercher quelque chose dans la salle. Quelque chose qu'il ne trouva d'ailleurs jamais, mais croisa le regard de Rosalie qui lui en retourna un glacial. D'un coup, il se retourna pour ne pas pouffer de rire. Heureusement qu'il savait comment interpréter un tel regard. En plus, contrairement à tout ce qu'on aurait pu croire, la reine de beauté sourit elle aussi. Faiblement, mais il était tout de même authentique et cela se faisait sentir.

«KAMUI, RÉPOND! KAMUI! KA...
-Subaru?
- Ouf... ça va? T'as tué personne? T'as faim, oui, non, peut-être?
- Calme-toi Subaru, avec les dix-sept litres qu'il a avalé ce matin je ne pense pas vraiment qu'il puisse avoir faim avant au moins trois jours!, lança une voix lutine et gaie qui se joint à la conversation.
- C'est lui qui m'as forcé à les avaler et puis en plus, j'ai failli exploser!
- Glouton comme tu es, avoue que t'as apprécié!, rétorqua Subaru pour se défendre.
- Non je te dis!
- Cause toujours grand chef!»

Il se retourna derechef à nouveau et aperçut Rosalie qui le fixait, narquoise. Ses lèvres formulèrent une insulte silencieuse -mammouth- et elle fabula une mine offensée.

Regardant mon livre sans vraiment le lire, je me retourna vers lui dès que je sentis son regard posé sur moi. C'était comme si il dégageait une attraction plutôt puissante quand il regardait quelqu'un mais, c'était de pire en pire, jour après jour. J'avais enfin décidé de le confronter, aujourd'hui, à la cafétéria, et exiger de lui une bonne explication pour son dédain flagrant sur moi alors que je ne lui avais absolument rien fait. Et c'était le cas de le dire puique, en fait, je ne lui avais même pas parlé.
"Si je te parle, tu vas m'ignorer encore, ou me répondre?"
Me risquais-je en acentuant sur le mot encore et en repenssant à la légende que Jacob m'avait raconté, qui m'obsédait toujours autant.
Une histoire de loups, enfin... Loup-garou plutôt et de créature sanguinaire qui boivent du sang d'homme. À part les vampires, et je en crois pas tellement à ces histoires, je en vois vraiment pas ce qui aurait pu être l'objet de cette fameuse légende.

Naturellement froid au premier contact, il fit néanmoins un effort juste pour voir sa réaction et tourna la tête vers sa voisine en souriant calmement... ou narquoisement.
"Bonjour."
Se contenta-t-il de répondre.

Souriant à mon tour, mais toujours teinté de méfiance, ce sourire parut calme au premier abord. Le regardant de mes prunelles d'un doux vert brun, je parut probablement heureuse. Mais, au fond, sa voix éveilla une angoisse soudaine dans le plus profond de mon être. Sentant ma gorge se serrer, je détourna le regard.
"Bonjour... Ton nom est bien shirô Kamui, n'est-ce pas? Toutes les filles me parlent de toi."
Préférant finir ma phrase à ce moment, je sentis comme un vent froid me parcourir le dos. Me retournant vers lui, je sentis ses yeux me transpercer. Pas comme les autres filles le prétendent mais, je sentis cette même force émaner de lui. Cette même force qui m'avait envahis la première fois que je l'avais vu. Le regardant plus attentivement, je remarqua que ses yeux, toujours froid, semblait soudain d'un bleu plus clair, moins griseâtre.
"Tes... Tes yeux ont changé de couleur! Avant-hier, ils étaient griseâtre et maintenant, ils sont d'un bleu beaucoup plus sobre..."
Déclarais-je sans réfléchir.

Il arqua un sourcil.
"Ton dernier rendez-vous chez l'optométriste date de quand exactement?"
Demanda-t-il en la toisant comme si elle était folle.

Fronçant les sourcils, je continua de soutenir son regard, étant sur de ce que j'avançais. Déposant ma tête dans mes mains croisé, je ne cessa de le fixer, sachant que je n'abandonnerais pas.
"Je sais ce que j'avance... Tu n'es pas normal... Je n'abandonnerais pas, tant que je ne sauras pas."
Continuais-je en le fioxant toujours de la même façon. Peu importe le risque, peu importe ce qui m'en coûtera, je découvrirais ton secret, Shirô Kamui, je découvrirais le pourquoi du comment, à chaque fois que tu me regarde, je sens ce sentiment m'envahir, le pourquoi du comment je sens cette énergie qui émane de toi.

«Elle est folle selon vous?
- Suicidaire je dirais, répliqua Subaru.
- Totalement débile. Elle a une défaillance, renchérit Rosalie.
- Vous êtes très loin de la vérité, s'opposa vivement Alice.
- C'est sûr. Au moins on sait une chose : ses parents l'ont drôlement échappé souvent à la naissance!, déclara Kamui.
- Là t'es méchant grand manitou.
- Alice!»

La conversation se clos sur le rire mélodieux de la jeune vampiresse. Kamui sourit narquoisement à Jessica.
"Je crois que si ta définition de «Normal» te comporte, je comprend direct pourquoi je ne le suis pas."

Le regardant, l'air complètement déboussolé, je regarga tout autour de lui. Je ne le comprendrais décidemment pas et probablement jamais mais, lui non plus. Je suis très dure à déchiffrer, pour le plus imbécile. Mais si les sages n'osent pas chercher à comprende l'essence même de la raisons, alors, je suis sure de m'en sortir, comme toujours d'ailleurs.
Me mettant à éclater d'un rire mélodieux, je em retourna vers lui en le regardant.
"T'es marrant!"
Dis-je d'un air amusé.

"..."
Je me retourna complètement dépité par changement si soudain de caractère de Kamui. Il rendait les filles complètement folles sans ne dire aucuns mots, simplement grâce à son physique. Comme je déteste attirer l'attention, je préféra faire comme lui et l'ignorer. Car, j'imaginais déjà la vague de personnes qui me parleraient simplement en voyant que lui me parlait.
"Bah, si tu préfère qu'on s'ignore..."
Dis-je en repoussant une mèche de ems cheveux et en prenant mon stylo, commençant à rédiger la planification de l'expérience, selon la démarche demandé.

Une main blanche et dont la froideur était draconienne se posa sur celle de la jeune humaine «immigrée» à Forks et s'empara à sa place de son stylo. En un clin d'oeil, il examina sa calligraphie, la jugea d'un oeil critique et expert avant de s'attaquer à la rayure de quelques articles et au rajout d'autres choses tout en copiant parfaitement son écriture. Après quoi, il s'écarta et lui fit un clin d'oeil. Le prof parut n'avoir rien remarqué du tout, ce qui était d'ailleurs le cas pour tout le monde.

«Tu m'étonneras toujours Kamui tu sais?
- En 253 ans tu peux ne pas me connaître par-coeur Su' o_O?
- Franchement! Créer une dimension complètement parallèle que même Rosalie n'a quasiment pas senti est un exercice extrêmement complexe qui demande une débauche d'énergie pouvant tuer un vampire de classe moyennement supérieure s'il est fatigué un tant soit peu alors que toi, c,est presque aussi naturel que tes griffes ou tes crocs!
- À ce point-là ?
- Bien sûr!»

Ma main se figea en sentant la sienne. Elle était encore plus froide que de la glace. Mon regard était rivé sur cette dernière avant de réaliser qu'il copiait mon écriture à la perfection et de revoir ensuite cette feuille sous mon nez. Je releva la tête vers lui et le fixa, tout bêtement. L'un de ceus deux orages de referma et je ne su tout simplement pas quoi dire. J'était bouche bée par son changement de caractère trop fréquent.
"Merci..."
Dis-je en replantant mon regard sur la table, complètement dépité.

Soudain, un gros oignon d'or se posa sous mes yeux, directement sur la table. Le professeur prit nos deux copies et nous félécita, disant que l'on faisait une équipe parfaite. Je passa une main dans ems cheveux, légèrement gênée par tout les regards qui se retrouvaient rivées sur nous. Puis, la cloche retentit.
Je me leva et m'étira rapidement, avant de regarder, incrédule, le trois quart des élèves qui n'avaient même aps encore identifier la deuxième partie de l'oignon.
Je rassembla mes cahiers de notes de cours ainsi que mes cartables.

J'entendis soudain la respiration de toutes les filles de l'écoles se stopper, comme si quelqu'un venait de mourir. Je me stoppa et releva la tête de mes bouquins pour réalisers que Kamui m'attendait près de la porte. Le regard bloqué, le continua de ramasser ems objets avant de marcher vers lui.
"Au fait, tu veux l'oignon?"
Dis-je en le lui tendant.

"Tu peux me dire ce que je peux faire avec un oignon, à part la cuisine? En plus, dans ma famille on les détestent."
Se moqua-t-il avec un sourire ironique et des yeux brillants, comme s'il réfléchissait à une plaisanterie que lui seul était en mesure de comprendre.

"Euh... j'en sais rien en fait!"
Dis-je en rigolant à mon tour sans vraiment comprendre le sens caché de ce qu'ils disaient. De plus, sa famille tout en entière n'aimaient pas les oignona... même si cela porte à confusion, je ria tout de même...

Puis, le dernier cous se finit et je dus à regret sortir de mon merveilleux roman. C'est en soupirant que j'alla d'un pas lent vers mon casier. Puis, je sortis de l'école, le regard bas. J'étais réellement épuisé par le stress de cette journée à l'école de Forks et encore plus débalanssé par Kamui Shirô. J'alla vers ma camionette rouge et plaça mes bouquins sur le toit.

Un gros bruit de dérapement se fît entendre tout près. Des cris, par la suite. Je em retourna en sursautant et vu cette camionette bleu marine foncer droit sur moi. Je voulu courrir, loin de là, mais je ne pus bouger à cause que j'étais complètement coincé. JÉe recula brusquement dans ma camionette et regarda l'autre voiture se projeter vers moi dans ce son bruyant. Mon coeur battit la chamade et je la fixa, les yeux emplis d'une terreur sans nom.

Je me baissa avant de relever rapidement la tête et de l'appercevoir. Je ne su que dire tellement les idées dans ma tête s'embrouillaient. Il venait d'arrêter le camion, uniquement avec sa main et était arrivé à une vitesse fulgurante. Il était beaucoup trop loin pour pouvoir m'atteindre avec une vitesse ordinaire. Je croisa alors son regard. Je ne pus m'en décrocher. Soudain, il partit et seulement la je me releva, en entendant mon nom de la couche de tout els évlèves qui étaient autour de moi.

Plus tard à l'hopital, le père de Kamui venu m'examiner. Un beau et grand jeune homme, aux cheveux noireâtre et le regard aussi étrange que celui de son fils. M. shirô m'examina et me dit que tou alla bien. Mon père me tendit son cellulaire et me regarda.
"Apelle ta mère."
"Tu la apellée? Elle... elle doit surement paniquer..."
Sur ce, j'alla d'un pas rapide vers la porte mais me stoppa en entendant la voix de Kamui ainsi que celle d'une autre fille. J'e me colla au mur et approcha seulement ma tête. Ils le sermonaient et parlaient de conséquences. Soudain, la blonde se stoppa et planta son regard glacial dans le mien plus vert. Je me raidissa et ravala ma salive.
"Je... Je peux te parler?"
Demandais-je à Kamui.