The fascination...

- Ce que tu a fait n'avait aucun sens Kamui!
- Rose, calme-toi, il n'a pas mal agi au final!
- Mais, je...
- Tais-toi Rose! Ses raisons sont valables et valent plus que ton inquiétude inutile et démesurée. Compte-toi chanceuse que Kamui ait des réflexes de meneur à ce point aiguisés!
- Et les conséquences à ce geste? Tu penses peut-être qu'elle se taira?
- Et bien dans ce cas Rosalie, tu me vois désolé de ne pas répondre à tes attentes! Tu aurais préféré que ça se répande partout peut-être?
- Quand même, c'était...

Tous les trois se turent lorsque la jeune fille demanda Kamui. Le plus grand après Kamui, Madoshi, passa son bras autour des épaules de la belle blonde et s'éloigna avec elle. Levant les yeux au ciel, Kamui la rejoignit.

- Qu'est-ce que tu veux?

Son ton était posé. Pas agressif ni serein.

"Je veux savoir. Comment tu as fait, tu était beaucoup trop loin de moi!"
Dis-je sur un ton rapide, insistant. Je voulais absolument savoir et ne pas rester dans l'ignorance. Cela était impossible qu'un humain ordinaire ait pu faire ce qu'il avait fait. De plus, je l'avais déjà sentis qu'il n'était pas normal. Alors, le pourquoi et surtout el comment de la réussite de son acte m'intriguais. Au plus haut point.

Il s'adossa au mur avec un air narquois, les yeux rivés sur elle.
"T'as jamais entendu parler des poussées d'adrénaline? Je te sauve la vie et tout ce que tu trouves à dire faire c'est m'ennuyer avec tes questions stupides! J'apprécie beaucoup cette preuve de ta reconnaissance tu sais."
D'un mouvement altier, il se retourna et s'éloigna sans un regard de plus.

Je me stoppa et le regarda s'éloigner. La tête basse, j'accôta mon épaule au mur avant de me secouer la tête pour tenter de me remémoriser la scène.
Ce soir, je m'endormis étrangement mal. Ce fut la première fois que je rêvis à Kamui. Il était la, devant mon lit, me fixant de ses yeux d'un bleu orageux dévastateur.

Ce matin, tout fut comme normale. Je me leva, me brossa les dents, les cheveux et je m'habilla. Aujourd'hui on avait sortit à la cyclo verte. Pour moi, c'était un truc où le compost règnait. Au moins, les plantes me dégoûtaient franchement moins. J'arriva près du bus quand mon regard croisa des cheveux d'un noir de jais.
Puis, mes yeux se mire à le scruter avant qu'une tempête blonde m'adresse la parole. C'était Mike et, juste à en voir ses yeux bleus, il semblait plutôt nerveux.
"Au fait, t'es au courant pour le bal de fin d'année? Bien, comme ces les gars qui invitent les filles, je me demandais si tu voulais y venir avec moi...?"
Je n'entendis rien à ce qu'il me dit. J'étais trop perdu dans le mystère qui entourait Kamui que je ne le remarqua simplement pas, fixant toujours celui qui avient des yeux d'orages.
"Jess?"
"Ah ouais? Ah...! Aller où?"
"Au bal des finissants... avec... moi?"
"Ah... je suis vraiment désolé mais j'ai déjà prévu quelque chose ce week-end là. Je dois aller à Jackson ville."
"Et tu ne peux pas remettre ça à plus tard?"
"Non... j'ai déjà acheté mes billets. Mais tu devrais inviter Bella."
Il se tourna vers cette dernière qui lui fit un salut de la main. Il acquiessa lentement, l'air déçu. Il avança vers le bus et je le suivis de loin, sans réellement dire quoique ce soit.

Un sourire moqueur au coin des lèvres, Kamui entra à son tour dans le bus après l'avoir épiée. À la sortie, l'enseignant les força à se mettre en équipe de paillasse ce qui n'était pas une mauvaise chose étant donné que son clan lui avait ordonné de faire une journée sans se servir de ses pouvoirs. Ordonné... monté contre lui plutôt! Il marcha vers elle.

"C'est quoi cette sortie à Jacksonville?"

Je sursauta qiand j'entendis sa voix et me retourna d'un mouvement brusque, m'anquant ainsi de tribucher au sol en m'enfargeant dans mes propres pieds. J'avais la facheuse habitude de toujours tomber. J'étais la plus maladroite de totue et ce, depuis ma naissance.
"Pourquoi je te le dirais, tu ne réponds jamais à mes questions. En plus tu ne me dit même pas bonjour."
Dis-je en le regardant furtivement du regard, évitant cette fois-ci de retomber.

Il leva les yeux au ciel lorsqu'elle manqua de tomber.
"Depuis quand on dit bonjour aux gens à l'école? Et puis si tu répond à ma question je... fais le pitre en hurlant trois fois que je suis un imbécile."

Je sentis une légère colère en moi monter en voyant qu'il em prenait pour une folle qui disait de lui qu'il n'était pas normal et qui se foutait de moi. Je soupira et me détendit très rapidement avant de planter mes yeux dans les siens.
"Merci pour hier mais... je ne cèderais pas. Puis, on dit toujours bonjour aux gens à l'école. Puis enfin, pourquoi ça t'intéresse?"
Déclarais-je simplement en évitant de regarder Mike faire le clown avec un verre de compost en liquide.

"Tu as dis deux fois puis."
Lui fit-il remarqué d'un ton... en fait d'un ton qu'on ne savait pas classer clairement entre les catégories sarcasme et simple remarque.
"Ça m'intéresse parce que j'ai un intérêt pour ledit sujet."

Je le regarda et manquit rire amis je rpéféra alors garder mon sérieux. Marrant, il me fesait un remarque sur mon français. Il s'intéresse au sujet... Étrange, moi qui croyait qu'il se foutait de tout et de tout le monde.
"Tu t'intéresse au fait que j'aille à Jacksonville? Des bouquins, voilà ce qui y a."
Dis-je d'un ton neutre.

"Alors miss est intellectuelle?"
Railla Kamui toujours avec son sourire en coin si... si... EXASPÉRANT!

Je le regarda du coin de l'oeil avant de reporter mon attention sur le professeur. La sortie fut très très longue avant qu'elle se termine et Bellla m'avait demandé d'aller l'aider à acheter ses robes à une boutique. Il ne em restait plus qu'à en profiter pour pouvoir aller chercher mon libre sur les Quileutes à la bibliothèque à Port Angeles.

Deux jours avaient passé et je me retrouvaient enfin devant cette fichu bibliothèque. Il faisait noir et très froid, je devais bien l'avouer. Je me dépêcher à acheter le tout avant de ressortir plutôt rapidement. Puis, soudainement, j'entendis des aps et je vis deux homme se stopper et commencer à me suivre dans la ruelle. Je fis demi tour assez rapidement avant de me retrouver un peu plus loin dans un aprking. Personne. Puis, une gang surgit de je ne sais trop où et commence¸a à me toucehr les cheveux. D'un geste vif, je lui flanqua un coups de genou en plein dans les parties avant de me retourner et de voir le résultat. Mauvaise idée. Je me sentis étouffée, prise au piège, comme un vulgaire insecte dans une toile d'araignée.