Me, I want you. Simply.

Jeune fille de 15 ans, de taille moyenne, mince, vêtements derniers cris, lunette de soleil qui cachait de magnifique yeux pétillant de vie, d'un vert brun éclatant, du rouge à lèvres brillant rosé, du crayon noir et turquoise, du mascara ultra volume, le nouveau de L'oréal Paris, voilà comment on pouvait me décrire. Des capris skinnies: les nouveaux de chez garage, une camisole: de chez freedom et des Rewind -mes souliers préféré- d'Urban planet était mes vêtements.

Mon ipod dans les oreilles, Right Roud jouant au max, nouvelle toune de Flo Rida, la peau blanche flashant sous le soleil, j'entra dans ce bâtiment éclairé et majestueusement grand. La bouche à demi ouverte, mes longs cheveux brun tombant dans le milieu de mon dos, je baissa légèrement mes lunettes pour mieux voir avant de les enlever completement, secouant doucement mes cheveux vers la gauche. Ma mère me suivait, moi en avant, je fonça vers la secrétaire, attirant certains regard sur moi. Je ne passais pas innaperçus à mon école, vu mes vêtements et mon certains style. Paraît que la soeur de mon ami veut me ressembler... O__O
"Une session de cours privé dans la patin japonais avec le meilleur de vos entraîneurs, j'ai l'argent."
Dis-je en tendant une enveloppe contenant 4 000$

Elle sourit avec entrain et sympathie. Sa peau pâle, ses yeux noirs et bien sûr, l'extra de maquillage qui allait avec, faisait d'elle une femme d'une beauté surnatelle dont l'air restait très accueillant. Feignant l'empressement et l'enthousiasme à la perfection, elle décrocha le téléphone de l'intercom et composa un numéro à une vitesse effarante.
«Shirô Kamui est prié de se rendre à l'accueil, Shirô Kamui à l'accueil, merci!»

Un jeune adulte... pré-adulte, plutôt, sortit d'une salle ornée du panneau «employés seulement» à la suite du message. Impossible de décrire l'effet qu'il fit si ce n'est que les filles se retournèrent d'un mouvement universel tel des chats ayant repéré une souris... et elles n'étaient pas dans cet état pour rien. Son T-shirt noir à motifs carrés blancs, légèrement ample découpait ses muscles de façon à ce qu'on puisse imaginer sans problèmes un torse de rêve, le lousse conférant aussi la possibilité d'avoir un aperçu de ce qui se dissimulait à l'intérieur du chandail. Une blancheur anglaise, des yeux à faire voler les poissons, ses boxers sortaient au quart de son pantalon plutôt qu'à demi, conférant ainsi encore plus de grâce à sa démarche déjà divine. Le gars parfait, en somme. Il fit un geste de la tête pour replacer des mèches rebelles de sa... coiffure : cheveux noirs, ébourriffés, aucun noeuds, pas trop souple, juste assez volumineux pour leur donner du style. Il arriva au comptoir et arqua un sourcil avec un air que l'on n'arrivait pas à classer entre pervers ou surpris.
"Quoi?"

"Ben, je voudrais des cours privés de patins Japonais."
Dis-je en le fixant... fixement? Je n,en revenais tout simplement pas. Mon fantasme en chairs et en os, ses jeans trop lousse laissant dépasser ses boxer, son chandail lousse aussi, le même que j,avais vu un jour en allant magasiner, ultra tendance, laissant découper ses muscle de rêve, ses yeux bleu ressortant. son air bad l'embelissant encore plus, seulement si c'était possible, cheveux noir et en bataille... Simpelment, parfait. Moi, je le voulais. Simplement.

Mon ton n'oscilla totuefois pas mais, je savais déjà qu'avec la somme que j'avais, il accepterait. Sinon, je lui ferait un chèque, dès maintenant. Je sentis même ma mère avoir ses yeux rivés sur lui. Je lui donna un coup de coude dans les côtes pour la réanimé et retourna enfin mon regard sur le sien. La filel semblait sympa, aussi. Elle était très belle. En fait, ils étaient tous d'une beauté incomparable.

Un sourire en coin se forma sur ses lèvres si délicieuses pour le regard : pas trop fines ni épaisses à la courbe douce et très masculine, d'une teinte à peine rosée, pulpeuses et dont les légères bosses qui ponctuaient chaque lèvres étaient situées aux endroits les plus stratégiques qui soit, offrant tout le... confort que femme désirait.
"Pourquoi pas? Elle a payé combien?"
Demanda-t-il de sa voix grave et chatoyante, ses yeux se glissèrent dans ceux de la jeune fille. Son regard ne voulait rien dire pour une ancienne génération. Pour celle de l'adolescente il criait un avertissement qui se répercutait presque dans toute la pièce : PERVERS!

La femme se tourna vers lui, ses cils noirs et ses prunelles tout aussi sombres rehaussée par une ombre à paupière bleue et dorée. Son regard était mis en valeur par une couche de fond de teint appliqué sur ses paupières, bien qu'elle n'eut même pas besoin de rehaussé l'éclat de ses yeux. Ses lèvres, elles, étaient pourvues du brillant à lèvres Glam Shine de L'Oréal Paris ainsi que d'un rouge à lèvres... rouge très glamour et type des top modèles qui devait mettre leurs lèvres à l'avant.
"4000 exactement, Kamui."

Ses très devinrent plus sévères, mais il garda tout de même son magnétisme naturel de par son incroyable beauté. Il se redressa alors qu'il était accoudé au comptoir.
"Très bien. Mets-la sur ma liste... Akane."
Il se tourna vers la jeune fille aux yeux verts, retrouvant son sourire et son enthousiasme. Enfin... sa perversité plutôt.

Je lui sourie sympathiquement, platant monr egard dans le siens. Je le dévorait déjà au départ alors désormais... juste cet avertissement, cette affoche écrit en grosse lettres: PERVERS en un bleu rose pètant me fit flamboyer encore plus.
Je regarda ma mère, lui lançant ainsi des éclairs dans els yeux pour l'empêcher de ne serais-ce que ler egarder de cette façon de nouveau. Elle était bien trop vieille pour lui, de tout façon.
"On commence quand?"
Demandais-je sur un ton rehausser de hâte et d'enthousiasme.

"C'est quand tu veux! On peut même commencer maintenat euh..."
Il prit un air légèrement dépité trop mignon. Pas excitant cette fois, mais irrésistible à sa manière. En fait, Kamui venait tout juste de réaliser qu'il ne connaissait même pas le nom de son élève.

"Jessica, Jessica Stewart. Sans problème!"
Répliquais-je sur le vif. Je manquit d'hurler comme une hystérique en voyant son air trop kawaii mais me retenit de peu... je ne voulais pas l'effrayer le mec! Sur ce, je fis un pas vers lui et me retourna vers ma mère, la chassant de l'immeuble du regard. Je passa une main dans mes cheveux pour déplacer ma frange et lui balança mes lunettes d'été. Elle els attrapa et repartit sans rien dire, l'air complètement dépité devant tant de beauté et enviant, surement à cause de mon âge et du siens.

Ça l'amusait de faire autant craquer les filles. On disait toujours que le monde était peiné de n'être aimé que pour leur apparence physique, mais ce n'était pas le cas pour lui, c'était tout le contraire même! Il aimait ça, il s'en servait à merveille, savait s'exploiter à la perfection. Il repris son air de séducteur averti qui le faisait comparer à un acteur de cinéma et se passa une main dans les cheveux. La différence? On confondrait ces derniers avec un tas de vomi - et même pire - en comparaison à sa représentation de la beauté! Et «naturelle» avec ça.
"Super! On passe devant les toilettes, j'en profiterai pour te les montrer et te permettre de ne pas te perdre!"

"Parfait!"
Dis-je en acquiessant, toujours un peu dans les nuages à cause de la bague de chaleure qui m'envahissait, de plus en plus brûlante. finalement, Robert pattinson, Channing Tatum... ils venaient tous de baisser dans mon estime et ce, de beaucoup même. J'alla simplement plus près de lui et le suivis gentiment sans rien dire, regardant avec enthousiasme les regard jaloux des auters filles.

Il souris en entendant ses pensées. Elle était heureuse de rendre les autres filles jalouses et avait hâte à ce moment... particulier. Il s'arrêta devant les toilettes.
"Les cabines sont ici. Essaie de ne pas y aller en roller, les planchers sont en céramique et pas celle d'un gym."
Il poursuivit et entra finalement dans le gymnase. Ce dernier était inqualifiable faus par un mot : Immense.

"Waaaoauh!"
Dis-je en fonçant droit vers le centre du gymnase. J'en regarda le moindre recoin, la moindre petite planche de plafond, les moindres petites lignes sur le plancher. Aussi propre que parfait! Je me retourna vers Kamui et fût encore frappée par ses yeux mais me retenit de m'emballer trop rapidement.
"C'est vraiment très très grand!"
Dis-je en continuant de regarder partout.

"C'est fait pour! Les gymnases d'école sont toujours plus petits alors quelqu'un qui fait dix tours ici en fera de vingt à quinze à l'école."
Il ouvrit les grandes portes de métal de l'entrepôt -qui faisait d'ailleurs la superficie d'un gymnase d'école taille moyenne- et lança deux patins japonais à la jeune fille avant d'aller plus loin, à l'abri des regards indiscrets et de «prendre» les siens avant de revenir.
"Tu sais comment les mettre?"

"Euh... he he!"
Dis-je en les regardant, dépitées par la trop grande différence entre les deux. Puis, je répondit simplement à sa question par un signe négatif de la tête. Je n'avais jamais rien vu de tel et alal m'asseoir, la bouche toujours grande ouverte. Je le regarda et parus toujours bouche bée, sentant déjà la menace que le planché excerçait sur moi.
"Tu peux m'aider, s'il te plaît?"

"Très bien alors regarde."
Il aurait pu les mettre en sautant simplement pour se donner un plus grand élan au départ, mais disons que son secret serait vite percé. Aussi s'assit-il simplement sur le banc etn attachant soigneusement son patin droit. Il s'arrêta après trois étapes simples, attendant qu'elle les reproduise.

Je els reproduis d'ailleurs très rapidement, en même temps que lui en fait. C'était alors beaucoup plus simple que ce que j'avais pu imaginer. J'attacha mon deuxième patin de la même façon. Maintenant, ne restait plus qu'à réussir à se lever debout, immobile. Je respira une grande bouffée d'air et me releva, très lentement, en tenant le banc le plus sécuritairement possible. Jusque là, tout allait très bien.
"Bon, j'arrive au moins à me lever, cest déja ça."
Dis-je en manquant de perdre l'équulibre mais en la rétablissant assez habilement, dû à beaucoup d'entraînement en patin à glace.

Il n'eut qu'à pousser légèrement pour s'éloigner d'environ un mètre et demi du banc et revenir vers elle.
"C'est assez simple. Les roues font presque tout pour toi."
Il lui montra à déplacer son premier pied et pas trop loin pour ne pas aller à l'autre bout du gymnase en faire la «split». C'était plus à ce niveau que ça se corsait, le mouvement étant très différent.

"Eumh euh... tu peux recommencer?"
Dis-je en tirant de la langue, l'air encore plus dépit. qu'au départ, si c'était alors la réellement possible. Puis, j'essaya tout de même de faire le mouvemenet et, par on ne sait quel miracle, je réussis sans me casser la gueule, pour uen fois prbablement dans ma vie. Je releva la tête, le sourire aux lèvres, toute heureuse de cet exploit qui ne venait que d'un miracle quelconque.
"Bon bah, pas besoin finalement! Mais pour avancer on fa..."
Puis, le pire arriva. Je n'eus guère la chance de finir ma phrase que je perdis l'équilibre et tomba sur le derrière. Ramenant mes jambes vers l'avant, je mis mes mains sur le placher, la tête pencher, mes cheveux cachant entièrement mon visage.
"Gomen!!"

Il sourit avec la patience d'un maître, comme s'il faisait cela depuis toujours alors qu'il n'avait en théorie que 17 ans et lui tendit la main pour l'aider à se relever.
"Jusque là ça va, tu ne m'imite pas à mes débuts, c'est déjà ça. Faut dire que j'ai fini presque en ouvrant les portes de l'entrepôt."

Je la prie volontière et regarda, sepctique mes patins. Je ne les aimaient guère pour l'instant. Enfin si, ils étaient vraiment très beau, de tialle parfait, s'accordant à merveille à mon pieds mais, il me faisait perdre l'équilibre sans avertissement.
Du coup debout, je m'accrocha au départ à lui pour ne pas retomber et, en déposant ma main sur mon épaule, je parus légèrement surprise de la musculature dont il faisait preuve. Certe, je l'avais déjà remarqué, comem tout le monde mais encore. Je le relâcha et leva ma tête vers lui, lui souriant.
"tu sais, ça ne fait que commencer, attends à la fin avant de dire ça!"
déclarais-je d'un ton très joyeux et enthousiasme mais très déprimé et découragé, à la fois.

"C'est ça, cours toujours!"
Lentement, il la força à lâcher son épaule et se redressa.
"Reste droite et ne met pas ton poid sur tes pieds. Réparti le dans tout ton corps."
Facile à dire et facile à faire... pour un vampire.

Je ris doucement et tenta de le faire sans plus. Bien sur, je perdis encore l'équilibre mais en tombit pas, me rattrapant simpelemnt grâce à mes bras.
Je soupira et ne cessa de le fixer. Comment répartir son poids dans tout son corps? Je n'en avais aucune idée. C'était comme apprendre à un jeune enfant à marcher et ensuite à courrir. C'était possible à faire mais trè sloin d'être simple.
"Tu peux exliquer exactement?"
Dis-je en continuant simplement de le fixer, sans ni plus ni moins.

"Euh... j'ai dis ton corps non? Mouais... je voulais dire tes pieds. Pousse tes genoux vers l'extérieur sans bouger tes jambes, ton poid se répartira tout seul."
Répondit-il.

"Hum mmh."
Je le fis sans plus.
[Je sais pas quoi dire parce que il ne se passe riien! Trouve de quoi ou ben on va dire tant de temps plus tareeeuh!]

"Parfait. Réessaie d'avancer."
Il lui montra à nouveau le geste.

[Quelques jours plus tard >.<]

Je revenus, une semaine plus tard, réellement fatigué par le manque de sociale dont j'avais fait preuve. Je m'étais entraîné pendant toute la journée, durant une semaine de temps consécutive, qui avait tout de même portée ses fruits.
Leregard droit, je rentra encore une fois dans cette grande salle et attendan simplement mon professeur, comme d'autres élèves le faisaient pour d'autres adultes. Mes vêtements? Pas encore changée de style, et ni de coupe de cheveux donc, pas de nouveautée sur ce côté si.

Mentalement? J'avais rencrontré le mec le plus beau de tout le bahut et vous savez quoi? C'est lui mon professeur de patin! Sinon, pour résumer ces septs derniers jours, ils furent certainement les plus éprouvant de toute ma vie, en particulier car Naomie avait enfin couché avec son chum et qu'il l'ait laissé tomber par la suite. Je dus donc passer toutes mes soirées au téléphone en tentant de la rassurer, .évitant surtout de lui préciser qu'il l'avait, en fait, laissé tombé car il n'aimait pas sa manière d'être au lit et qu'il l'avait planté là pour la salope de l'école.