Me, I want you. Simply.

"Aaaaaaah, c'est seulement dans ses temps là que j'ai la paix! Elle ne peux pas car personne en surveille, alors!"
Dis-je en ne me doutant de rien, prenant mon crayon et en tentant de règler un problème mathématique plus compliqué. C'était l'ensemble des nombres naturels réduit par l'ensemble de tout els nombres premiers impairs additionné à ceux des multiples de deux. J'avais un jour eu la même question dans un examen.

"Ah. J'avoue que ça doit être gossant d'avoir l'impression que quelqu'un t'observe toujours avec des jumelles peu importe où que tu sois, hein Su'?"
Répondit-il en avisant ce dernier qui lui fit coucou de la fenêtre où il était avec des lunettes longue vue d'ailleurs.

Sursautant, j'acquiessa et me retourna avant d'apercevoir Subaru. C'était donc pour ça que mon gros patapouf préféré était tout près de la fenêtre, couché en bavant et en se fesant aller la queue de gauche à droite. Je soupira et me retourna vers Kamui.
"Il fait souvent ça?"
Déclarais-je en le pointant du doigt, trouvant une ressemblance plutôt frappante entre lui et père, avant qu'il en se sépare de ma mère.

"Souvent? Presque toujours."
Avant de trop étirer le temps, il se mit à lui expliquer quelques détails et quelques règles sur les exercices. Subaru s'enfuit en courant pendant ce temps et un kekkai -imperceptible aux yeux humains de la jeune fille- en forme de pentagramme les entoura. Ils étaient bien à l'abri là-dedans et Subaru devait -encore- avoir mangé des tacos et réussit à foutre une caméra quelque part.

Nonobstant ce fait, Kamui continua de la renseigner tout en préparant lentement son esprit à un assaut phénoménal... et très discret. Lentement, il dispersa son pouvoir de séduction dans la pièce, en douceur.

Étrangement, mes yeux se rivèrent instinctivement sur lui. J'avais beau lutter mais, mes yeux restaient accroché sur lui. Je le vus comme un dieu. Sa peau, son crops, ses yeux, ses lèvres... je sentis mon corps brûler d'envie. Se déssimer devant lui. C'était comme si j'avais une brusque envie de lui. Qu'il m'appartienne.
Je me mordilla la lèvre inférieur avant d'oter ma veste, sentant une brusque vague de chaleur m'envahir. Je secoua la tête en allant la déposer sur le divan.
Je revins ensuite à la table en chassant ces idées néfastes de mon esprits.
"On en était où?"
Dis-je en regardant le cahier, l'air un peu gênée.

Comme Subaru lui avait appris à faire, il concentra une partie de son pouvoir de séduction sur la voix de façon à ce que la voix du meilleur chanteur de provoc' paraisse dérisoire et dégoûtante en comparaison.
"Les notions avancées de pourcentage."

"Aaah..."
Dis-je sur un ton comple`tements distraite. Je ne cessais de le fixer, en particulier de loucher sur son torse, ma tête accoter entre mes mains. Mon regard était probablement attisé d'une lueure féline ou perverse loin d'être subtile pour le plus con des mecs car, si intérieurement je bouillais d'extasie, alors extérieurement je devais surement paraître à vouloir faire autre chose que des maths.

"Euh... allo?"
Demanda-t-il en se penchant vers elle et en agitant la main devant ses yeux. Un coup calculé et parfaitement prévu. Un coup de maître, vu son chandail ample qui dévoila le contenu qu'il dissimulait sans rechigner dès qu'il se pencha. Son torse n'avait rien à envier aux plus grands modèles de la mode de ce monde et sa peau, aussi blanche et séduisante que celle de son visage non plus. À nouveau, il poussa son pouvoir de séduction plus loin.

J'aggripa fortement la chaise et me crispa fortement. Je voulu regarder ailleurs mais je n'en fus tout simplement incapable. La chaleur monta, encore une fois, jusqu'à en devenir insupportable. C'est là que j'éclata. Je poussa la cahier plus loin et, monta casiment sur la table, j'aggripa son chandail et le força à aller vers l'avant, m'enparant de ses lèvres dans un geste incensé mais des plus plaisant, répondant à mon désir.

Il lui suffit d'un geste pour se retrouver de l'autre côté de la table. Sans ménagement, il posa ses mains sur ses hanches et saisit une ouverture dans sa bouche pour y enrouler sa langue agile. Sa main se posa dans son dos et il la colla contre son corps froid, passant ses doigts sur son échine avec une expertise simplement inhumaine. À nouveau, l'effet de son don se décupla tandis que Subaru entrait discrètement par la fenêtre de la chambre aux parents de la jeune fille pour kidnapper Aïko et l'empêcher de japper et d'interrompre ce film si intéressant.

Je rouvris de grands yeux, complètement ahuri par ce que je faisais mais encore plus par lui, mais les referma presque aussiôt, passant ma langue dans son palet. Je titilla le bout de la sienne avant de passer mes mains dans sa nuque, oubliant complètement le bang que j'avais entendu en haut. Je sentis de délicieux frissons monter le long de mon échine sous ses doigts glacé comme son corps et émit un souffle chaud, expirant ainsi toute la tentation qui augmentait de plus en plus. J'avança doucement, avant qu'il en heurte un mur sur lequel j'avais décidé de le piéger.

Lentement et en prenant le soin de pousser son pouvoir de séduction plus haut, un peu plus brusquement cette fois, Kamui passa ses mains sous le chandail de la jeune fille. Un frisson incontrôlable le saisit lorsqu'elle lui toucha la nuque. Poussant un grognement rauque, il oublia le reste du monde pour se concentrer uniquement sur sa tâche aussi perverse fut-elle. Il retira carrément son chandail tandis que Subaru fermait discrètement les rideaux avant de disparaître.

Je figea, paniqua pour finir par en redemander. cette vague de chaleur, aussi brûlante puisse-t-elle être, augmentait de plus en plus, incompréhensiblement rapidement. Poussée par cette dernière, je lui enleva très rapidement son chandail et le lança beaucoup plus loin. J'admira quelques secondes son torse nu, d'une blancheur anglaise frappante et d'une froideur mystérieuse. Je passa, effleura plutôt, le découpement de ses muscles, complètements concentrée sur ces derniers.

Sa peau frissonna lorsqu'elle effleura son torse. Le jeu commençait à devenir excitant autant qu'intéressant. Il se pencha vers le cou de la jeune fille et y marqua deux suçons superposés avant de descendre vers sa poitrine. Kamui passa ses mains dans son dos, sans se presser et ce dans l'unique but de doser avec précision son pouvoir de séduction, l'augmentant à nouveau et faire sauter l'agrafe de son soutien-gorge.

Elle frissona, de tout son corps, de toute son âme. Elle ne se saurais jamais attendue à ça et n'était pas préparée. Mais, d'un autre côté, elle en avait terriblement envie, encore plus que jamais. Finalement, ça mère avait peut-être raison, peut-être était-elle bien plus pire qu'un démon. Sa peau déjà aussi brûlante que le gésier d'un volcan, s'enflamma à une telle chaleure qu'elle en fut simplement insupportable. Son cou supportant mal le degrés de tension qui montait en elle, explosa quand elle sentit ses lèvres se poser contre sa douce peau et la lui suçoter, virilement.

Haletant d'excitation et d'impatience, Jessica passa ses mains dans son dos et poussa un légé gémissement. Elle les descendit et, à mi-chemin entre ses cuisses et le bas de son dos, elle remonta brusquement pour passer ses pouces dans son jeans, savourant avec attention le doux satin de sa peau étrangement glacé et la sensation titanesque qu'elle resentait, augmentant de plus en plus dailleurs.

Il appuya sa tête au mur pour reprendre son souffle. S'il soupira intérieurement, il ne dit rien. C'est presque en déprimant qu'il songea qu,il était resté lucide. Les capacités humaines ne reviendraient jamais à égaliser une morsure de vampire, pour sûr. Il colla l'adolescente sur lui et fit glisser des pouces le long de ses hanches, effleurant égaleement sa poitrine dénudée au passage. Il inséra ses doigts sous ses skinnies et usa habilement de ses don de lévitation pour le faire glisser plus facilement au sol. Ses mains revinrent sur ses hanches, passèrent sur son ventre et s'arrêtèrent à sa poitrine.

Je frissonna agréablement, ressentant la sensation à pleine capacitée. Je voulais m'arrêter, arrêter ce tourment, mais j'en était tout simplement incapable. C'était comme si le monde arrêtait de tourner et qu'il me laissait enfin la chance de faire ce que je voulais. Je tourna la tête et regarda l'escalier.
"Tu... ne veux pas... monter?"
demandais-je sur un ton oscillant, trop menaçant de lacher à chaque instant, ressemblant aussi à un ton enviant, qui en redemandait toujours plus.