Vampire attraction

Ce teint d'une bancheur frappante, avec ses pomettes gentiments rosées. Ses yeux d'un vert éclatant, et des cheveux de soie d'un brun foncé marquant. Son visage, sans aucuns défaults, son corps généreux et mince. À la pointe fine de la mode. Un sourire parfait, sans aucune lacune.
La femme fatal en toute somme, la plus populaire et belle de toute l'école.



Mais, ayant un sinistre mystère l'entourant, caché habilement par son caractère explosif mais renfermé. Son nom? Jessica Stewart, 17 ans. Enfin, j'ai 17 ans d'apparence, je vous l'accorde. J'ai beaucoupl plus que vos arrières arrières grands-parents je suppose. J'ai tout vu, de l'expension européenne au monde d'aujourd'hui, en passant par la chasse au sorcières qui était franchement stupide, si vous voulez mon avis. Tant de gens décimé par la faute de... d'autres créatures beaucoup plus sophistiqué, quoique sauvage.



Ces gens disent tous que je suis parfaite mais, au fond, ils ne connaissaient rien de moi et c'est bien mieux comme ça, croyez-moi. Si un jour il advenait que ce pays apprenait quelque chose de trop sur moi... Je n'ai jamais aimée le massacre, contrairement à mes semblables. J'ai beau être populaire mais je n'aime pas plus la compagnie, dailleurs je déteste être entouré par les humains. Toutes ses odeurs me lève le coeur, cette haine de même. Les humains sont décidement la pire espèce, quoique toujours moins que cette bête de poil dégoûtant, ayant un style de la mode tout à fait navran. Tyran serait le mot patrfait pour eux.



La journée? Pluvieuse et ennuyante, comme à son habitude. Dans ce petit pays, il ne se passe jamais rien de fantastique. J'était, comme d'habitude, assise dans le fond de la classe, le regard planté dans la fenêtre, reniant les autres et fixant tout ceux qui osait s'approcher de la place libre à côté de moi, qui renonçait dailleurs. Je soupira et ne montrant guère d'attention quand la professeur parla de ce nouvel élève qui passait la porte.

"Kamui Shirô."
Se contenta de déclarer le nouvel élève, les mains dans les poches, ses yeux froids et d'un exceptionnel bleu-gris défiant l'ensemble de la classe, l'observant d'un oeil attentif en même temps. Une fille d'une grande beauté attira son attention un moment. Maître du self-control, il n'y prêta guère attention jusqu'à ce que l'enseignant ne se décide à l'envoyer en arrière. Fermant les yeux, dégageant une sensation glaciale pourtant propre à la véritable race de sa voisine de classe, Kamui s'installa sans un mot de plus. Nullement intéressé à parler.

Ses mains se crispa d'un coup sur le banc, ce dernier craquant justement sous la pression de ses doigt. Son regard, perçant et affamé, se figea sur le nouvel arrivant. Jamais elle n'avait sentit une odeur autant... si...
Une odeur si parfaite, si attirante. Elle serra les dents et regarda aussitôt ailleurs, ses pupille la trahissant. Elle accôta son menton dans sa main et se mordilla la lèvre inférieur, essayant de cacher la faim qui la tiraillait.

Elle tassa son banc du plus qu'elle le pouvait, le regard encore plus froids que la glace même, défiant la perfection. Ses iris d'un vert pur, plus frappant que l'émeraude, ne cesserent de fixer celui beaucoup plus gris du jeune homme à côté d'elle. Elle ne pouvait simplement s'en défaire.

Le regard de plus en plus sombre, presque changeant de couleur, ses pupille devenant très lentement de petite fente, elle posa une de ses main sur la table. Son poigh serré -qui avait retombé trop lentement- se crispa de plus en plus. Sa repsiration devenu légèrement rude, liasant échappre un léger soupir "animal". Elle sentait son corps se serrer de l'intérieur, même ses cros se former.

elle retourna la tête d'un coup sec, des images de mises en scène ou elle transperçait enfin la peau de ce jeune la hantant. Elle referma les yeux et prit une grande inspiration, calmant quelque peu ses envies. Le regard figé désormais sur le professeur qui, ce dernier, semblant soudain très mal à l'aise, expliqua le projet d'équipe.
Sous ce mot, elle fit presque un saut et planifia déjà la future assassinat du professeur de science.

Elle ne se retourna pas pour autant, sachant que les regards de tout le monde était viré vers eux. Elle ferma les yeux et se concentra. Un légé sourire lui apparus et elle les rouvris, se retourna vers ce mystérieux garçon et lui tendit le petit pot d'algue bleue sur lequel il devait étudier.
Certe, elle se concentra pour ne pas déployer son don de séduction "naturelle" pour ne pas affoler tout le monde dans la pièce.
-Bonjour.
Commença-t-elle lentement, se méfiant de la répercution de sa voix.

Un instant il trouva sa voix chaude et charmante. Il ne lui en fallut pas plus pour laisser passer cette idée.
"Bonjour."
Se contenta-t-il de répondre en concentrant son attention sur les algues.

Elle s'effroça de ne pas faiblir devant lui... Juste cette idée qu'un simple humain lui fasse un tel effet l'effrayait. Décidement, ces humains n'auront jamais finit d'attirer son attention, ils sont remplis de mauvaises suprises !
Elle sentait son énergie, son pouvoir aussi, monter et redescendre, ce qui agitait beaucoup la classe dailleurs. Elle souris doucement à Kamui et s'effoça de ne pas jeter son don sur lui, se dernier déstabiliser, comme elle-même.
-Tu viens d'où? Je vois que tu es nouveau !
Déclara-t-elle, sa voix suave envoûthan le voisin d'en avant qui se retourna, l'air ébahi.

Mieux valait éviter ce sujet. Cette fille ne lui inspirait pas confiance et dégageait quelque chose d'étrange, semblable à ce qui empêchait les autres de s'approcher de lui-même.
"Tu viens d'Angleterre?"
Faire d'une pierre deux coups et contourner la question. Si elle répondait que oui, alors il n'avait plus rien à lui dire.

Elle le fixa longuement, essayant de comprendre se virage soudain. Elle haussa un sourcil et finit par abandonner sachant qu'elle perdrait son temps. Il semblait bien spécial et, distant dailleurs. Sa ne serait qu'une erreur que de sous-estimer son ennemi, n'est-ce pas? Enfin, il n'était pas son ennemi ! -elle sourie sous cette pensées- mais, cette métaphore pouvait bien représenter la situation après tout. Elle haussa des épaules avant de prendre des pinces pour enlever l'algue du pot.
-Pourquoi crois-tu que je viendrais de l'Angleterre?
Dit-elle en ricannant doucement.

"J'ai mes raisons. Contente-toi de répondre ou de m'ignorer."
Répliqua-t-il sans esquisser un geste pour l'aider.

Elle sentit son sang bouilloner en elle et retenu sa mai d'aller directement sous sa gorge. Elle se contenta de se calmer à nouveau, espérant ne pas éveiller cet instinct en elle encore plus qu'il ne l'était déjà. Elle continua doucement son travail. en prenant cette fois-ci une feuille et un stylo.
-Non, je ne viens pas de l'Angleterre. Je suis née au Massachuchet.
Répondit-elle simplement.

Elle se stoppa et se retourna. Elle savait déjà qu'il ne tavaillerait pas, mais elle refusait de se plier devant un humain. Elle lui tendit la feuille et le stylo, le sourire aux lèvres.
-Tu peux refaire ce schéma-ci?
Dit-elle en lui pointant le dessin à refaire, et que, s'il refuserait, elle devrait employer alors els grands moyens.

"Si tu veux."
Prenant le stylo, il ne lui fallut qu'un coup d'oeil pour mémoriser le schéma et le refaire.
"Voilà."

-Merci.
Dit-elle simplement. Puis la cloche sonna et, en quelques pas, elle se retrouva à l'autre bout du couloir.

Elle se promenait, comme à chaque soir, dans ce coin reculé de la ville ou les pauvres gens qui venait à elle finissait malheureusement leur vie ici.
Elle courait d'arbre en arbre, se balançant dans tout les sens, remarquant soudain une odeur. Merveilleuse odeur. Elle atterit sur une branche -qui ne céda pas apr chance- et se pencha au-dessus de cette dernière, observant un homme qui semblait traquer ou chercher quelque chose ou... quelqu'un.

Elle ferma les yeux et ne fît aucun bruit, se concentrant sur le son des pas du jeune homme qu'elle visait. Ses yeux se rouvrirent en un jaune doré pur, ses pupille evinrent alors de mince fente. Ses cros sortir mais pas ses griffes poussèrent à peine, juste assez pour lui permettre de s'accrocher plus aisement aux arbres. Elle se laissa retomber au sol et se rattrapa d'une main à une branche pour se propulser plus docuement au sol.

Aterissant sur ses deux jambes, accroupi, elle se releva d'un bond et rattraper le pauvre homme en deux pas. Trop concentrer dans sa traque pour remarquer l'odeur qui lui venait, Elle attrapa l'homme à la gorge et le souleva du sol, l'accôtant dans un abre. Ses cheveux sombre se secouèrent lorsque qu'elle leva le bras et qu'elle lui planta ses crocs dans le cou, un sourire narquois aux lèvres. Quelques secondes à peine, elle le relâcha en le lançant dans un arbre voisin avant de réaliser l'odeur qui lui venait à l'esprit, enivrant lentement son cerveau.

Sa main se figea sur le bras du jeune homme et se recula brusquement.
Elle le fixa longtemps avat d'agripper son dos et de se téléporter à un endroit qui semblait être un manoir ou une maison de riches, ce wui était du à discerner dans le noir qui y règnait.


Trois des même créatures se tenait désormais devant Kamui, le tenant fermement assit. Un autre arriva et venu pour passer sa main sur la joue de celle qui l'avait emmené ici mais se ravisa vivement et voyant l'Expression qu'elle prenait. Il avaça alors, su un ton ricanneur:
-Que nous as-tu encore amené? Le reste de tes bêtis...
Il n'eut pas ke temps de finir qu'il se voya éjecter dans le mur.

Son air féroce ce tourna vers les trois autres hommes qui semblait convoté le jeune humain et ils le lâchèrent d'un coup, reculant, s'agenouillant.
-Si l'un de vous s'avise à toucher à un seul de ses cheveux, je le tuerais personellement... et toi...
Elle se retourna vers un grand brun, qui semblait dailleurs se relever difficilement de sa cascade dans le muré
-Ne me touche pas.
Elle prit le bras de Kamui et le força à la suivre. Quand ils furent sur l'étage du haut, elle ouvrit la porte de la chambre qui semblait la plus grande et l'assit sur le lit, allant par la suite fermer la porte avant de se retourner vers lui. Ses yeux, d'un vert éclatant luisait doucement dans la noirceur et elle se rapproche si vite qu'on ne put y distinguer sa silouhette.