I wanted you for my own.

«Mon dieu! Un monstre veux me tuer!»
Dit-elle en s'éloignant comme une balerine, autant remplie de mouvement d'une souplesse incroyable que de mouvements majestueusement modeste. Et encore, le mot était faible. Cependant l'on pu lire une marque de frayeur dans ces yeux, ces yeux d'un brun vert mirtoitant.
«Ô Kamui, que tu es cruelle! Tu ne sais même pas à quel point tu l'as détruit! Ô mon pauvre Kamui! Tu ne peux même pas imaginer!»
Dit-elle d'une voix fantomatique en lui faisant la révérance, le regardant de ses yeux époustouflant.

"J'ai appris à ne me fier qu'à ma propre parole, tes mots ne m'ébranleront pas, sorcière."
Répliqua-t-il en se plaçant devant Jessica d'un geste protecteur. Un rayon de lumière indigo jaillit de la griffe de son index et fusa vers l'esprit pour se resserrer sur sa gorge, sans pitié. Sa force, maintenant à pleine puissance, ne pouvait être éviter avec un subterfuge aussi naturel pour un fantôme que celui de se dématérialiser de moitié. Elle ne l'aurait pas de cette façon... elle ne l'aurait pas du tout.

Sa présence d'esprit lui permit de ne pas avoir le fabuleux réflexe de se téléporter, ce qui ferait disparaître le fouet qui égorgeait en ce moment même la créature qu'il avait meurtri il y avait de cela des années. Au lieu de ça, il parvint à s'approprier la puissance de la sphère, diminuant la force de l'attaque de moitié, bien qu'il se la prit au creux du vent.

La plaie se referma aussitôt et il riposta en projetant un rayon indigo vers le fantôme, de sa main libre, en plein vers son front, zone sensible pour la plupart des créatures de son espèce... En même temps, il raffermit sa prise sur le lasso d'énergie bleu marin qui étranglait sa pauvre victime.

La créature baissa la tête et rie. Mais, quand elle la releva, je perçu dans ses yeux une tristesse et une solitude si grande. Une larmes si pure et vraie coula de son oeil avant qu'elle ne disparaisse.

"Je..."
Les larmes se misent à couler de mes yeux pour atteindre doucement le sol. Je sanglotait et tremblait un peu. Je me détourna vers la porte qui était maintenant ouverte.
"Je... hum... je..."
Un sanglot ressortit quand j'ouvria la bouche et je me mise à courir comme je n'avais jamais courrus. Je me rappelait ce que Kamui avait dit et ça me déchirais. Me détruisait. Ces simple paroles, aussi innoncente qu'elle puisse être me tuait. J'eus le temps de traverser toute la demeure et j'atteint enfin la porte. Je l'ouvris dans une geste brusque et alla vers le jardin, sans arrêter de pleurer.

Dès qu'elle quitta la pièce, Kamui jeta un regard d'une froideur sans nom à l'esprit et la projeta par la fenêtre, lui sommant ainsi de partir, sans quoi il la tuerait à sa prochaine visite. Enfin... la tuer. Disons qu'il détruirait plutôt son âme pour l'expédier aux enfers et ainsi faire une victime de plus à Cerbères qui mourait de faim ces derniers temps.

Sur ce dernier salut qui n'en était pas un, il s'évapora et réapparut près de sa victime favorite.
"Qu'est-ce qui se passe?"
Demanda-t-il, son énergie subitement redevenue normale et son regard ayant reprit son air impassible habituel.

"DÉGAGEUH!"
Dis-je en le frappant de plein fouet dans le milieu du ventre, là où il avait reçu le sort du spectre. Je le regarda avec encore les lamres aux yeux et détourna mon regard d'un air frustré, me retournant.
"Laisse moi tranquille..."

Il se plia en deux sous le choc, mais se redressa sans problème.
"Alors tu as choisis de la croire c'est ça?"
Rétorqua-t-il, la colère se lisant facilement dans ses yeux bleus. Probablement l'une des seules émotions qu'il ne puisse ressentir avec facilité.

"Non bien sur que non c'est que..."
Je me retourna pour lui faire face, voyant cette éclat briller de mille feu dans ces yeus généralement plus bleu. Mon ton de voix s'adoucit et fus moins sur la défenssive.
"Tu ne peux pas comprendre, c'est même toi qui me l'as dit."
C'est vrai après tout, combiens de fois m'avait-il dit qu'il n'avait pas de coeur et donc, qu'il ne pouvait ressentir aucune émotions? Qu'il ne pouvait comprendre la nature et la provenance de ces émotions si pur et qui était une faiblesse à ses yeux? Des centaines de fois.

"Puisque tu tiens tant que cela à rester seule..."
À nouveau, son expression s'était faite plus sévère, elle avait reprit son air distant et renfermée. Sur ces mots, il lui jeta à peine un regard avant de s'éloigner en direction du manoir.

"Ka... Attends!"
Je partis à courir et lui rattrapa le bras de justesse. Je repris lentement mon souffle, ayant courrut à une certaine vitesse.
"Désolé..."
Dis-je en relevant ma tête, l'air sincère. Je soupira et lui relâcha le bras.
Enfin, je dirais plutôt qu'il ne veut pas comprendre, acr s'il se forcerait au minimum, il y arriverait peut-être. À et puis, pourquoi je me sens responsable? C'ets pas ma faute s'il refuse de comprendre! Arg! Il me met dans un de ces états parfois...!

Il la regard longuemment, la fixant intensément... avant de lancer :
"Allez viens espèce d'idiote."
Il la prit par le cou et l'emmena vers le manoir. Une fois encore, il l'insultait pour son amusement personnel... mais pourtant, il n'était pas du genre à pardonner facilement.

"MAIS TU VEUX CRIVER OU QUOI!?"
Dis-je en me tortillant de tout les côté pour tenter de lui faire lâcher prise. Mais, au fond d moi, j'étais plutôt heureuse qu'il ne fasse aucune remarque et qu'il garde cette façon chiante mais amusante de me taquiner. en général,je l'aurais frapper mais comme ça ne lui ferais rien et, au meilleur des monde, ça le chatouillerais... autant abandonner avant de le remettre réellement en colère au risque de le faire bouder.
"Je vais me clamer avant que tu... ne te mettes à bouder!"
Le narguais-je aec un air tout triomphant.

"Bouder? Moi? Mais observe ta moue d'abord!"
Il lui pinça les joues et les tira vers le bas pour la forcer littéralement à faire une moue boudeuse complètement... affreuse.
"Keiko était presque aussi laide que toi tu sais?"

"Raaaah!"
Je retira ses mains en frotant mes joues toutes rouge car ils les avaient tirés bien fort.
"Ça fait mal tu sais?"
dis-je en donnant une mine réellement boudeuse, lui tournant le dos. D'un autre côté, j'étais contente car, pour la première fois dans ma vie, je trouvais qu'il semblait bien heureux, contrairement à son habitude d'une froideur énorme.

"Ouais c'est ça, avance maintenant."
Seulement, il la tira tellement fort qu'elle passa à deux doigts d'enfoncer à porte. À cette distance-ci, il ne pouvait pas voir si elle s'était écrasée littéralement, mais bon...

Je me lança vers l'arrière pour ne pas me fendre la tête dans la porte et mes pieds touchèrent juste la porte. Je resta là, allongé sur le dos, les yeux refermé pour teter de ne pas crier Kamui et me mettre à lui courir après dans tout le jardin.
"Aah... Aaaaaaah!"
Gémis-je en remarquant que j'avais risquer la mort à un cheveux. Je me releva doucement et rentra sans jeter un regard à Kamui.

"Dommage..."
Il la rejoignit et la mit sur son épaule.
"Et dire que je me réjouissais d'avance du fais que tu n'es atterit dans la porte."
Déplora-t-il en ouvrant cette dernière.

*tourne la tête vers lui avec un gros soupire et des milions de plus.*
D'ici, on pouvait déja voir, non, entendre, le succès que Kamui avait auprès des filles. Plusieurs le hélaient et d'autres criaient de rage quand elles le voyait me tenir de cette façon.
"Kamui, tu sais que je risque de me faire tuer?"
Dis-je en poussant encore un long mais très long soupire.

"Oh bien sûr que je le sais."
Répondit-il d'un ton désinvolte en avançant vers les vampiresses. Une fois au centre de leur petit rond, il laissa tomber Jess au sol et s'éloigna sans tenter de la portéger de tout le monde qui se ruait vers elle.

"J'ai mal au ventre, je fais quoi?"
"J'ai besoin d'un test de grossesse!"
"Madoshi a faillit me violer! Prend cette poele et frappe-le pour moi!"
"J'veux de l'alcool d'Osaka!"
"Un chien à deux têtes à détruit un ventilateur, il en faudrait un nouveau!"
"On veut faire une bataille de melon d'eau, va en acheter, je me fou qu'on soit en hiver!"
[...]

"Okay, okay, laissez-moi trois secondes."
J'alla chercher un calpin, pris tout en notes et pris mon cellulaire.
"Oui, m'sieur? Il me faudrait une centaines de melon d'eau et une vingtaine de bouteilles d'alcool d'Osaka."
"Très bien, c'est pour le manoir?"
"Si, la routine quoi!"
"He he! nous arrivons."
"Merci!"
Je cocha les deux demande de livraisons et alla les chercher quand le livreur arriva. Je donna le test de grossesse à la vampiresse, commanda des ventilateurs et pris la poele.
"Il est où Madoshi?"

La vampiresse indiqua la table de jeux de cartes dans une autre pièce où il faisait les poches aux pauvres humains en lisant les cartes qu'ils possédaient dans leurs esprits. Soudain, des petits enfants passèrent en courant.
"Mwa ze veux que tu frappes Kamui!"
"Ze veux que tu envoie chier Yûko!"
"Ouaaaaais!!! Tire les cheveux de Watanukiii!!!"
"Yeah!!!!"

"QUOI? FRAPPER KAMUI? SANS PROB'!"
Dis-je en sautant sur place tellement j'avais hâte. Pour Watanuki, je suis pas oubligé de les lui tirer fort mais pour Yuko... je vais devoir travailelr trop longtemps! Bref! Je me dirigea vers la salle où était Madoshi.
Je lui toucha l'épaule avec l'intention que, quand il se retournerait, je lui balançerais la poele en plein figure!

"Quoi? Tu vois pas que je suis occupé? C'est Kelie qui t'envoie?"
Demanda-t-il, sans même se retourner et en restant concentré du son jeu, captant aisément ses intentions funestes.

«- Hé les gars?
- Ouais?
- On la suit ok?
- Ouais, mais faut pas se faire voir!
- Kamui pourrait nous faire exploser la tête!
- Ouais!
- J'veux la voir se faire donner une leçon par Yûko!
- Yess!
- Let's go boys!
- C'mon!»
Et on entendit pleins de petits pas hyper pas discrets et précipités se foncer dedans en se planquant contre le mur, imitant James Bond.... du moins... plutôt... essayant.

Je plissa les sourcils et élargie un sourire sadique, bouillonant voyant que Madoshi n'avait rien à foutre de ce que je disais. Sans prévienir, j'embarqua sur la table où il jouait et me pencha en prenant le col de Madoshi.
"TU M'IGNORE????"
Dis-je d'un ton énervé. Je releva la tête et vis les jeunes. Je sentis que j'avais comme un océan complet de petit goutte d'eau mais, quand je rebaissa la tête, ce fus un océan de petit plus et mes yeux devinrent des flammes.