It all started one night a beautiful night

Les jeunes filles sourirent et lui montrèrent Madoshi. Le pire dans tout ça c'est qu'il était en train de tenter de violer le pauvre livreur de pizza. Après, on le vu s'attaquer au poteau et ensuite tenter de violer une ti-cul d'à peine 12 ans.
Je me leva de mon lit. Plusieurs scénario et phrases se bousculaient dans ma tête. Je me sentis soudainement étourdie et je me rassise. Pourquoi mais pourquoi il peut me faire tant d'effets? Pourquoi ai-je si peur de lui reparler?

Je baissa la tête, inspira pronfondémment et me releva. Au fur et à mesure que je m'extirpais de ma chambre, mes jambes menaçaient de lâcher et je tremblais. Beaucoup trop même. J'arriva alors enfin devant sa porte. Reprenant le contrôle de moi-même, je cogna très doucement à la porte.

"Entre."
Souffla-t-il d'une voix calme, mais ferme. Il était assis sur son lit, les mains jointes, la tête baissée, fixant le plancher. Il ne savait pas pourquoi, mais il était mal à l'aise. Ce qui l'aidait à ignorer ce malaise? Son expérience de chef et rien d'autre.

Mon coeur se mis à battre à tout rompre au son de sa voix. Il ne semblait pas énervé mais il n'était pas très calmé non plus. Je déplaça ma main jusqu'à la poigné et inspira profondemment. J'avais tellement de ta réaction. Mais peu importe ce que tu disais, je savais que j ne méritais pas que tu me pardonne. Je savais que je ne méritais que ton châtiment et rien d'autre.
"Je..."
Les mots restaient coincé.
"Je suis venu pour..."
Dis-je d'une voix étranglé. Je ne savais tellement pas comment te le dire. Je ne voualais pas que tu trouve que ce n'était pas sincère ni que je joue la victime.
"Je suis venu pour m'excuser."
Dis-je d'une voix plus calme.

"Viens ici."
Lui ordonna-t-il, sans vraiment la regarder en lui faisant une place sur le lit... même s'il n'aurait pas eut besoin de se tasser, mais bon.

"Hum..."
Dis-je u peu mal à l'aise. Je lui obéis et alla m'asseoir à côté de lui. Il n'avait pas encore levé les yeux vers moi. C'était mauvais signe... mais le fait qu'il me demande d'aller m'asseoir près de lui n'était pas si négatif. Enfin, je sentais qu'il allait me parler. Pendant un certain temps probablement. Mais ça ne fait rien, il reste que la situation n'est pas si critique. tout dépent encore de ce qu'il compte me dire.

Il lui envoya une bonne claque derrière la tête, comme il avait l'habitude de le faire et se laissa retomber dans le lit par la suite. Un ange passa et il se redressa enfin avant de lui ébouriffer carrément les cheveux. Tellement qu'elle avait l'air pire qu'un épouvantail.
"Moi je trouve que ça t'embellis."

Je le regarda, fixa même. Je ne le comprenais pas. Je l'avais carrément insultés et lui, il m'ébouriffe les cheveux? C'est donc comme ça qui me considère... je vois.
Retenant mes larmes qui brûlaient mes yeux, je me relve d'un bond.
"C'est tout? Je peux y aller?"
Dis-je en m'éfforçant pour avoir une voix normale.

"Ka... Kamui..."
Dis-je d'un ton plutît tremblant. Je resta figé. Je ne savais pas si c'était l'émotion ou le refus qui me contrôlait. Je ne vopulais pas... enfin plus qu'il me prenne dans ces bras comme ça. Comme il ne m'aimait pas... enfin, je crois, c'est déja assez dur comme ça pour moi. Le réaliser était une chose mais l'oublier... je ne peux m'y résoudre. Je me fou de ce que les autres pensent de moi.
Je l'entourra doucement de mes bras.
Je me fou de ce qu'il pebnse. Je me fou de ce que tu pense. Et le plus important... je me fou de ce que tu ressens. Pour moi, les choses ne cha gerons jamais, peu importe ce qui peut arriver. Je t'aimerais toujours, peu importe ce que les autres peuvent dire. C'est ma vie. C'est moi qui décide.

Attend petite. Il y a toujours un Mais, il y a toujours un Si, n'est-ce pas? Alors laisse-moi le temps de te dire et Si. S'il pouvait y avoir ce et Si... reste-là, attend-moi. J'ai confiance en toi, je sais que tu y parviendras. Je sais que tu m'attendras. Jusqu'au jour de la promesse.
"Parce que je suis un crétin et le meilleur, je te pardonne. Allez, maintenant arrête de dire n'importe quoi et ca t'éclater."
Il la jeta dehors et sortit à sa suite.

"Ouais, t'es un crétin mais ça je le savais déja!"
Dis-je en manquant de tomber sur le sol. Je me leva sur la pointe des pieds et lui tapocha gentiment la tête. Je lui sourie et sortit une petite boîte de mes poches. Elle était emballé de jolie papier rouge avec un petit ruban or dessus. Je lui tendit et lui fit un clin d'oeil.
"Ouvre le uniquement quand tu sera seul."
L'avertis-je en l'entraînant dans l'escalier. Mes amies tout rangé comme promis et la fête avait déja repris son cours normal... enfin, il manquait quelqu'un... une fille plutôt nergique. Mais tout le monde s'était promis de faire comme ci de rien n'était pour ne pas tuer l'ambiance.

Je m'amusais beaucoup moi aussi. surtout avec mes amies qui ne cessaient de parler avec Kamui. En fait, elle lui parlait de moi en laissant paraître pleins de sous-entendu débile mais pas très stupide en même temps. Je me contentais de fixer le plancher, m'éfforçant de ne pas rougir. Parlant du mieux que je pouvais, elle me faisait vraiment trop stresser! Puis, la fête avança jusqu'à ce qu'elle finisse. Tous le monde étaient monté dans leur chambre sauf moi et Kamui. Je l'aidais à ranger un peu.
"Au fais... ignore mes amies, elles sont bizarre."
Dis-je en mettant sur la table deux bouteilles de sake vide.

"Non sans blagues? J'avais jamais constaté! o_O"
Ironisa-t-il avec un sourire moqueur. Écoeuré de ramasser les bouteilles vide, il alla toutes les ramasser avec la vitesse normale d'un vampire, passant le balais par la même occasion.
"Bon ben voilà... t'as plus qu'à me montrer de quoi tu es capable en me lavant le plancher."

"Très bien chef!"
Dis-je joyeusement en allant rapidement chercher le swifer. Effectivement, j'avais changé les baleyeuse d'homme de cromagnon pour nous équiper de truc de ménage dernier cri. Ouais bon, ça ne me pris que quelques heureus pour réussir à convaincres tout le monde. Mais bon, grâce à ceci j'avais fini en quelques minutes seulement.
"Ça a pas été très compliqué... au fait, est-ce que tu..."
Je m'interrompis en rangeant le swiffeur et je me retourna vers lui.
"Nah laisse."
Dis-je en montant d'un pas lent l'escalier.

Il la retint par l'épaule et la força à se retourner.
"Est-ce que je quoi?"
J'sais pas quoi rajouter >.<

Je le regarda au début, surprise. Je me retourna ensuite lentement face à lui. Mon regard et mon air s'adoussit et je leva ma main jusqu'à sa joue. Je la lui caresse d deux doits et porta ces derniers à mes lèvres.
"Laisse."
Lui dis-je sur un ton doux avant de me retourner et de continuer à grimper l'escaliers.

Le matin se leva peu à peu. Je me réveilla et me démêla les cheveux, m'habilla et me brossa les dents. Je sortis de ma chambre et pas un bruit. Je descendis en bas et personne. C'est quoi cet endroit? J'entendis des cris des voix et des pleurs. J'entendis Kamui qui gueule et Paschia qui pleure. J'entends les autres hurler et des marques de batailles. J'entends maintenant quelqu'un qui pleure. Sa tristesse me touche. Je n'ai jamais entendue quelqu'un pleurer comme ça. Ce n'est pas Paschia. C'est trop grave pour ce genre de voix. Alors qui? J'en ai aucune idée.

Je me demande bien où je suis. Je ressens un malaise m'envahir. Peu à peu. Me paralyser au complet. Mes jambes tremble. Mais qu'est-ce donc cette sensation?
Je ne sais ni où je suis ni ce que je fais ici. C'est froid. C'est un vrai pays de désolation. Tout ce que je vois est flou, comme si je voyais pas la vue de quelqu'un qui pleure. Moi. Je peu percevoir en me rapprochant que quelqu'un est tendue au sol. Je ne peux pas bien le décrire. Je me retourne et je sens quelqu'un pleurer. Ça voix résonne à travers la pièce. Elle me transperce. Je me souviens maintenant. Tout le flou disparait. Je sais. Cette personne est...

Un craquement sonore. Ça ne pouvait être qu'eux. Eux qui revenait se venger de leur défaite. Violente, la bataille éclata aussitôt. Le sang giclait, mais les siens conservait l'avantage. Kamui les regarda faire, concentrant son énergie à éliminer les vampires les plus puissants. Soudain, il ressentit une vague de force incroyable -bien qu'elle ne reste inférieure à la sienne et de très loin-. Un sourire assassin se posa sur son visage au teint d'airain.

Il sauta en bas de son perchoir, se jetant sur sa proie, toutes griffes dehors. Il était en pleine forme et ils payeraient pour le meurtre d'Anastasia, il se l'était juré. Des coups violents furent échangés. Soudain, il fut brusquement repoussé par deux vampires qui se jetèrent sur lui. Une lutte inégale et pas trop trop loyale. Rétractant soudainement ses griffes, il ferma les yeux. Frappa trois fois, faisant jaillir ses griffes à chaque coup. Les vampires s'écroulèrent sur le sol.

Soudain, il entendit une respiration coupée malgré l'enfer du combat. Aussitôt suivit d'un cri horrifié.
"KAMUI!"
L'appel retentit avec tant de force et de vigueur qu'il se surprit lui-même à avoir peur. Car il craignait horriblement ce qui suivrait. Ce qu'il avait peur de deviner... Bondissant sur le promontoire, il put l'apercevoir et eut l'impression de mourir. Le combat avait prit fin. Il n'y avait plus que ce corps ensanglanté. Il avait sous-estimé ses adversaires...

"NON!!"
Hurla-t-il à pleins poumons. Tellement fort que tout le monde cessa momentanément le combat, consternés, avant de le reprendre. Kamui bondit vers ce corps qu'il voyait, esquivant avec facilité les vampires qui se jetaient sur lui. Il s'écrasa aux côtés du corps dont il caressa la joue.
"Su..."
Parler était devenu la tâche la plus difficile au monde. Non, c'était juste impossible. Les mots se coinçaient dans sa gorge. Enfin, ils se décidèrent à sortir.

"Pas... toi..."
Hoqueta-t-il, le... «coeur» battant. Il était impossible de décrire un chagrin aussi profond. La première personne et l'une des seules qui l'ait jamais considéré plus que comme un supérieur ou un modèle. "Lui"... pourquoi... la réalité mourait. Il n'y avait que sa respiration sifflante, sa difficulté à rester éveillé qui comptait.
- N'oublie jamais... qui tu es... Kamui. -
Son corps fut secoué d'un nouveau... dernier spasme. Il s'éteignit, une sorte d'écume rose perla au coin de sa bouche. Si la scène ne dura qu'un court instant, elle rejoua sans cesse dans son esprit qui refusait d'accepter la réalité.

*Faites que tout ceci ne soit qu'une rêve, je vous en supplie...*
Des griffes se plantèrent dans son épaule, le forçant à se dire que ce n'était pas le pire cauchemar au monde. Enfin si, ça en était bel et bien un. Les griffes descendirent jusque dans le bas de son dos et le sang se mit à couler à flot. Quelle importance cela avait-il? S'il mourait il le rejoindrait et en ce moment c'était la seule chose qu'il voulait. Que cet "enfer" prenne finalement fin. Capituler? Des premières perles de rage, de douleur, roulèrent sur ses joues.
"SUBARU!"
Pourquoi pas, il n'avait même pas été capable de le protéger, comment ferait-il avec un clan au complet sur les bras?

Comme il avait toujours fait. Ce dernier recours, cet ultime espoir retentissait, agissait, comme une force jusqu'à présent latente qui s'était enfin réveillée. Il laissa tomber le corps de son frère et se releva. Très lentement. La plaie dans son dos se referma. Ses griffes sortirent. Il montra les crocs au vampire qui tentait de le réattaquer. Ses iris de nuit virèrent au jaune et il sembla plus mençant que jamais, surtout de par la rage et la souffrance qu'il venait de canaliser dans sa force, comme un véritable chef devait le faire.
"Vous tentez de m'abâtardir, je me trompe?"
Plus menaçante que s'il avait hurlé, sa voix était une promesse mortelle à prendre en compte... absolument. Parce que sa seule raison de vivre, maintenant plus que jamais, serait de se venger. Peu importait les pertes maintenant. Il en serait ainsi jusqu'à ce que ce clan ne soit éradiquer.

Furieux, il se jeta sur son adversaire et le réduisit en pièce, enfonçant sans ménagement ses griffes à travers sa gorge. Le plafond du manoir se couvrit d'une voûte inquiétante et sombre, zébrée par les éclairs qui y couraient. Soudain, l'une d'entre-elles se détacha de la dôme et frappa un vampire adverse avec tant de violence que le sol explosa littéralement, projetant à terre les combattants avoisinants. La douleur était trop forte, ça ne servait à rien de tenter de la calmer ou l'apaiser et il le savait très bien. Autant la laisser sortir... Les rayons indigos s'enchaînèrent, frappant le clan adverse sans la moindre pitié. Ils tentèrent de se téléporter... une force inconnue et mystérieuse les projeta contre le mur avec une telle violence que les crânes les plus frêles s'y fracassèrent dans un choc mortel.

Il était là, debout sur le promontoire, les bras tendus vers l'étrange dôme... au summum de sa puissance. Une entité matériel que personne en ce monde, en ce moment, n'aurait put rivaliser. Même le plus puissant des mages y aurait perdu la vie. Soudain, y s'effondra sur le sol, laissant seulement en vie le chef de cette troupe infâme qui ne méritait pas la "vie" d'un vampire. La respiration sifflante, il ferma les yeux, laissant à ses troupes le soin d'en faire un prisonnier éternel qu'il aurait le plaisir de torturer à sa guise.

Je me réveilla en sursaut. Choqu. par le rêve que j'avais fais, je sortis de ma chambre toute en sueur. Je descendis les escaliers. Personne là. Comme dns mon rêve. Je me déplaça au même endroit. Non, les même malaises, le même envie de vomir. Mon regard flou se posa sur un corp gisant. Les pleurs retentirent. Non! Pas ça. Je voulais les stoppers mais je n'arrivais pas à parler, come dans mon rêve. Ce même monde qui avait tant fait souffert celui qui pleurait revenait à la réalité. Mais en pire. Je me retourna et m'approcha lentement vers ce corp. Je ne vus personne sauf un grande femme au cheveux noir.

Tous étaient autour d'un autre vampire. Je reonnu la voix de la femme. Mais le seul mot que je pouvais percevoir était non. Rien d'autre. Su... Suba... Subaru... Quoi? Pourquoi mais pourquoi cette Paschia dis ce nom en pleurant. Non... ce n'est pas pos... Ma vue revint à elle. Comem dans ce rêve. non, cet enfer. Ce corp, je le reconnais. Je me siuviens de ce corp. Cette personne. Je tombe à genou. Les larmes ne coulent pas. Seulement, je ressens ce besoin de crier, d'hurler à plein poumons. Je ressens cette tristesse immense. Plus grand que nimporte lequel océan. Un douleur effroyabe qui me paralyse. M'immobilise. Je me relève malgré tout. Je ferme les yeux et me laisse guider par cette sensation. Cette sensation de crier et de tuer. Je me retrouve une nouvelle fois assaillis par cette vague de frissons. J'ouvre lentement les yeux. Kamui. Non, ce n'est pas lui. C'est autre chose. C'est quelque chose d'autre. Une chose qu'il dit être une faiblesse. Une chose trop "humaine" et qu'il n'a pas. Pourtant...

Je le vois bien. Il pleure et il est sur le point de craquer. Je ne peux le comprendre. Certe, j'ai pêrdu ma famille mais j'ai déja ressentis ces émotions et je n'avais jamais vécu seule. Enfin presque. Pourtant, lui qui prétends n'avoir aucun sentiment, aucune émotion, aucun... coeur. Je le sens bien. Cette sensation de douleur si intensse provient uniquement de olui et de personne d'autre. Je ne sais pas quoi dire. Soudain, les vampires transporte le vampire au cachos. Subaru dans une chambre spéciale.
Il ne reste que Kamui qui ne semble pas l'accepter. Qui ne semble pas voulir comprendre la fatalité. Je sais qu'il va me crier dessus. Il doit se défouler. Il doit hurler. S'il ne le fait pas, il risque de toujours rester avec cette rage en lui. Ce hurlement jamais sortit.
"Hurle. Crie moi dessus."
Lui ordonais-je en attandant de voir son visage.

Kamui sursauta. Il se tourna vers elle et s'apprêta à lui reprocher en hurlant d'être entrer sans avertissement quand quelqu'un d'encore plus indésirable entra... il ne l'avait pas revu "intimement" depuis... depuis qu'il avait passé l'âge de l'allaitement. Ses iris de nuit se voilèrent d'orage. Il serra les dents, les poings, tentant de retenir sa colère.
- La rage est un sentiment à bannir du coeur d'un chef, Kam... -

"QUI ES-TU POUR ME DIRE CE QUE JE DOIS FAIRE? COMMENT OSES-TU M'APPELER PAR MON PRÉNOM!"
Avant que quiconque est cligné des yeux, il avait traversé la cahmbre et plaquait déjà la visiteuse contre le mur, la main serrée sur sa gorge, ses yeux éclatants d'une rage glaciale et vulgaire.
"Toi! Tu disparais du jour au lendemain alors que j'avais besoin de toi! Tu réapparais alors qu'il s'en va, POURQUOI T'ES VENU?!"

- Je... savais que le... choc... serait... impor... tant... -
Il la relâcha en hurlant de rage et s'écarta brutalement.
"LE CHOC! QUAND T'ES-TU JAMAIS SOUCIÉ DE MOI ESPÈCE DE SALE TRAÎNÉE!"
Elle se releva.
- Je me suis toujours inquiétée pour toi Kamui. Et en tant que fils, tu me dois le respect! -

Il éclata d'un rire impossible à reconnaître.
"Moi? Ton fils?"
Il redevint sérieux à nouveau, les yeux flamboyants d'une rancune centenaire.
"J'AI CESSÉ D'ÊTRE TON FILS LE PREMIER JOUR OÙ TU M'AS APPELÉ MESSAGER, QUAND LE COMPRENDRAS-TU ENFIN! TU N'ES PAS MA MÈRE!"
- Je t'ai enfanté et tu ne peux rien y changer! -

Je cligna des yeux. Sa mère avait récolté sa colère et je m'en doutais. Seulement... je trouve que Kamui à raison. Elle ne devrait pas être ici. Elle ne mérite même pas de pouvoir parler comme ça à Kamui. En fait, il me sebmle qu'elle l'appelle Kamui que depuis qu'il est devenu chef. Sinon, elle l'aurait encore ignoré...
"Mme. Shirô, je pense que vous devriez peut-être partir..."
Je regarda Kamui et sus qu'il était en colère et pour de bon. Seulement, je pense que les comptes ne devraient pas ce régler maintenant. Ça ne sert à rien de manquer de tuer d'autre personne. Le conaissant, il s'en voudrait encore plus. Même si il la déteste, il n'est pas du ce genre de vampire qui tue sous l'effet de la colère. Il ne l'est pas et il ne le sera jamais.
"Kamui... je sais que tu ne veux pas te calmer mais ne franchis pas les limites. Ça ne sers à rien de régler ça maintenant. Subaru... n'aurait pas voulu ça."
Dis-je en le regardant doucement, sachans qu'il me crirait probablement dessus.

- Elle a raison Kamui. Il n'aurait pas voulu que tu t'en prenne à moi. Subaru ne l'aurait pas voulu. -
"TU FAIS EXPRÈS? JE T'AI DIT DE DÉGAGER!"
- Tu es mon chef, mais je suis aussi celle qui t'as fait accéder à ce poste en te donnant la vie. -

Il eut l'air complètement abasourdi. Comment osait-elle? ELLE qui l'avait renié... bien sûr, ça lui faisait plaisir d'avoir en tant que fils "lui" qui était si craint! Après tout, il était vrai qu'elle avait mit au monde ces fameux «vampires jumeaux»... mais elle n'avait jamais été là. Sans elle il n'aurait peut-être pas existé, mais qu'est-ce que ça pouvait faire? Qu'est-ce qu'elle lui avait donné sauf le fait de l'avoir engendré? Tout ça, il le devait à la première personne qui lui avait prouvé tant de fois que LUI tenait à lui, pas à cette traînée qui l'avait abandonné dès qu'aucun maître n'est voulu de lui.

"Sors."
Elle commença à partir. Kamui la regarda s'éloigner, elle, la mère qui aurait du être là pour lui, là pour le voir grandir, performer toujours plus haut, surpassant le plus prometteur du clan. Et pourtant, il s'inquiétait pour elle. Pourquoi? Parce qu'aujourd'hui il avait ressenti le besoin de la tuer.

"Kamui..."
Dis-je d'une voix douce mais un peu stressée. Je le connaissais assez pour savoir qu'il allait au moins me foudroyer du regard. Bien sur, je ne lui en voudrais pas parce qu'il vivait des choses difficile mais il avait quand même failli tuer sa propre mère.